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07.12.2007

Inteview du Secrétaire d´Etat aux transport MEFIRO Oumarou 

Au lendemain du séjour mouvementé qu’il a passé dans le Noun pour y célébrer les 25 ans du renouveau national et partager la joie de sa promotion avec sa communauté d’origine, le Secrétaire d’Etat auprès du Ministre des transport a répondu aux questions de La gazette du Noun. Entretien et vérités.

LGN:Quel est le sens de ce premier séjour riche en couleurs que vous venez de passer dans Noun au lendemain de votre entrée dans le gouvernement?

MO:Ma première descente dans le Noun après mon arrivée au Gouvernement le 07 septembre 2007, a été l’occasion pour moi de communier avec le peuple Bamoun. D’aucuns ont raconté que je n’étais pas du Noun. Je crois que ceux qui ont vécu mon arrivée dans le Noun se sont aperçus que ces gens là se sont trompés. Je suis du Noun et je suis militant du RDPC depuis une vingtaine d’années. Il faut faire la part des choses. L’activisme est différent du militantisme. Ce n’est pas parce qu’on est activiste qu’on doit prétendre qu’on est militant. Le militant c’est celui qui travaille, qui réfléchit et qui traduit par les faits les orientations que donne le Président National du RDPC. C’est pas parce qu’on se retrouve dans la rue à claironner qu’on doit se prévaloir d’être un militant. Nous travaillons avec la base et c’est ça qui permet aux militants de comprendre les idées développées par le Président National par rapport aux actions politiques, sociales et économiques qu’il conduit dans tout le Cameroun, y compris le Noun.

LGN:A vous entendre parler, le pan de voile qui couvrait votre visage au lendemain de votre entrée dans le Gouvernement a été levé à la faveur de votre première descente dans le Noun. Beaucoup disaient ne pas vous connaître dans la communauté dont vous êtes originaire.

MO:Du moins pour ceux qui avaient encore des doutes. Déjà, en 1996, le Comité Central m’avait désigné pour présider les opérations de renouvellement des organes de base du RDPC dans le Noun-nord. J’étais tout petit. Je suis arrivé et j’ai fait le travail à l’époque où le Préfet du Noun étais M. Alphonse NGWA qui est en ce moment Secrétaire Général au MINATD. Le Sultan Roi des Bamoun qui m’avait reçu et m’avait donné les conseils d’un père afin que je puisse trouver l’angle idoine pour parler aux parents, le reconnaît. L’ambiance était bon enfant.
On peut aussi travailler pour le parti n’importe où. En plus de mon expérience dans le Noun, j’ai travaillé ailleurs. Il y’a les camarades de Manoka dans le littoral qui sont en train de se préparer pour venir me féliciter après mon entrée au gouvernement. Ce sont toujours des militants du RDPC.

LGN:Quelles impressions gardez-vous de votre récente communion avec les populations du Noun ?

MO:La base du parti est demeurée très solide dans le Noun. Je crois qu’il y a eu un problème de communication entre les élites et la base. Si nous élites extérieures qui descendons dans le Noun comprenons très bien que dans les textes de base, le Président National accorde une attention particulière à la base du Parti, c´est-à-dire aux cellules, aux Comités de Base, aux Sous-sections et aux sections, il ne tient qu’à nous de solliciter généralement des feuilles de route à la base et de voir éventuellement comment nous pouvons travailler par rapport à ses propositions. Ce sont les animateurs de la base qui sont sur le terrain. Il faudrait que nous évitions au maximum de nous comporter comme des donneurs de leçons. Même s’il y a des choses à faire, il faut que ce soit des actions concertées. Parti sur cette base, il y aura une émulation et une synergie entre les rouages du Parti. Il faut éviter au maximum de descendre à la base avec un programme préétabli.

LGN:Lorsque le Président de la République S.E Paul BIYA vous nomme, le 07 Septembre 2007, au poste de Secrétaire d’Etat auprès du Ministre des Transports, comment accueillez-vous cette promotion ?

MO:Je suis un jeune Camerounais qui travaille pour mon pays avec le sens de l’unité et de l’intérêt général. Je suis économiste des transports. J’obtiens ma bourse au lendemain de l’accession du Président Paul BIYA à la magistrature suprême. Je me retrouve à Marseille où j’ai fait mes études après quoi j’ai opté de rentrer dans mon pays bien qu’étant Allocataire de Recherche au CNRS et Consultant à la Banque Mondiale. J’ai choisi de contribuer au développement économique de mon pays. Je crois que les critères de choix restent à la discrétion du président de la République. Mais mon souci maintenant c’est d’être à la hauteur de la feuille de route du secteur des transports. Je m’y attelle et je crois que je ne vais pas faillir. C’est l’occasion pour moi d’adresser une fois de plus ma profonde gratitude au Chef de l’Etat qui nous fait savoir que même les orphelins doivent désormais bien se comporter parce qu’il est très attentif dans la recherche de ses collaborateurs partout où il peut les trouver. Je crois que c’est un signal fort qu’il envoie et ceux qui sont comme moi doivent se mettre au travail sans se préoccuper d’autres choses. Le Président de la République est le père de tout le monde. Il observe tout le monde. Il est prêt à appeler n’importe qui pour qu’il vienne contribuer au développement économique du pays.

LGN:Economiste des Transports, vous contribuez depuis lors à la définition et à la mise en oeuvre de la politique nationale dans votre champ de compétence. Quelles sont vos grandes préoccupations auprès du Ministre que vous accompagnez?

MO:Aujourd’hui, nous trouvons un Ministère qui, je dirai, est un peu déconnecté du problème des transports. Techniquement, il faudrait que le Ministère des Transports évite de jouer au sapeur-pompier. C’est un département technique qui doit être proactif. Il faut anticiper et prévenir. Il ne faut pas laisser venir pour ensuite jouer au sapeur-pompier. C’est là le danger de notre département. Au quotidien, des réflexions doivent être menées dans le sens de la prévention. Aujourd’hui, sous l’instigation du Ministre des Transports qui est notre patron immédiat, nous sommes en train d’asseoir une véritable politique des transports pour bien intégrer le processus de développement, parce que quand le transport va, l’économie va. Il faut donc qu’on se méfie. Le transport est un puissant indicateur de croissance. Quoi de plus normal que le secteur des transports soit préoccupant pour le Président de la République. Il est tout attentif à ce qui est entrain d’être fait. Le Ministre des Transports a d’ailleurs pris des bonnes dispositions pour que nous soyons actifs. Régulièrement, nos collaborateurs descendent sur le terrain, essayent de voir tout ce qui s’y passe et reviennent maintenant arrêter des actions pour anticiper sur tous les problèmes qui peuvent arriver.

LGN:Au cours de votre récent séjour dans le Noun, le problème de la réhabilitation de l’aéroport de Koutaba vous a été solennellement posé par les populations de cet arrondissement. Vous avez répondu en disant que des actions étaient en cours à cette fin. Qu’en est-il exactement ?

MO:Justement, l’on ne peut pas abandonner un investissement important comme l’aéroport de Koutaba. Mais seulement, il faudrait voir économiquement si la loi de l’offre et de la demande peut se justifier. Si c’est la demande qui veut qu’on réhabilite l’aéroport afin que les avions puissent y atterrir, quoi de plus normal ? On fera une lecture économique et en ce moment on ira voir de près. Ce qui est surprenant, toutes les infrastructures en place sont en train de péricliter sous le poids du temps alors qu’il suffit juste de les maintenir. Vous avez sur les lieux le hangar et la grande salle où les gens viennent célébrer leurs mariages. C’est juste un problème de réhabilitation et d’entretien. La météo fonctionne très bien. Aujourd’hui, les avions militaires y atterrissent et repartent aisément. Qu’est ce qui empêcherait d’autres avions d’y atterrir pour embarquer les pèlerins. A ce propos, il y a un enjeu de proximité avec les familles. Vous avez des gens qui partent du Noun pour aller prendre l’avion au Nigeria alors que toute la colonie musulmane de l’Ouest et du Nord-Ouest pourrait décoller sur place. Economiquement et socialement, Koutaba est favorable pour leur départ parce que les familles sont là avec toute leur chaleur quand les pèlerins entrent dans les avions ou en sortent. L’aéroport peut donc bien fonctionner en période de pèlerinage.
Par ailleurs, il y’a des petits avions des compagnies qui peuvent aujourd’hui dans leurs plans de vols intégrer une semaine sur Koutaba. Des petits aéronefs de 50 places peuvent s’y poser au quotidien. Cette concurrence multimodale doit se mettre en place. Si c’est la demande qui est en train de susciter des aménagements, nous essayerons de voir. A ce sujet, il y a des réflexions qui sont en cours. Nous allons envoyer un collaborateur sur le site pour qu’il aille voir ce qu’il y a lieu de faire et procéder à une analyse que nous enverrons au Premier Ministère pour expliquer qu’on a un investissement qui périclite dans les herbes et ne demande qu’à être réhabilité. Je ne crois pas que ça puisse faire de mal à qui que ce soit.

LGN:Dans l’ensemble, le développement du Noun avec la participation de ses fils semble vous préoccuper. Quelle en est votre vision et quelles autres contributions peut-on attendre de l’élite d’avant-garde que vous êtes supposé être depuis votre entrée au Gouvernement?

MO:Merci de me poser cette question. Ce que je demande et souhaite, c’est que nos parents essayent de respecter les enfants qu’ils ont élevés et dont l’éducation leur a coûté aussi cher. Ce n’est pas normal que ce soit le Président de la République qui soit attentif à ces énergies et à ces compétences sur lesquelles il veille alors que les parents s’emploient plutôt à les détruire. C’est une lecture que je fais et je suis surpris qu’il y ait tant d’énergies qui ne s’expriment pas dans le Noun. Beaucoup des nôtres réfléchissent pour le développement des autres régions mais quand il s’agit du Noun, ils n’ont pas voix au chapitre. La mobilisation de ces compétences devrait partir des talents et il se trouve qu’il est très difficile de braver les considérations du genre « il est l’enfant de qui ? Tel est l’enfant de tel». Quand on est l’enfant de personne, on est rien. Voila que c’est le Chef de l’Etat qui vient reconnaître en ces enfants des vraies valeurs pour le pays et qui sache que le développement du Noun se fera avec eux ou ne se fera pas. Vous avez des grands cardiologues qui sont Bamoun, des professeurs de Médecine, des ingénieurs agronomes, des géologues qui réfléchissent et qui sont respectés, des chercheurs qui sont connus partout. Il appartient aux parents de prendre des dispositions pour que le développement passe, et ce développement passera par ces jeunes qu’ils ont formés.

LGN:Vous êtes Secrétaire d’Etat auprès du Ministre des Transports et vous êtes un fils du Noun. Quel rapprochement faites-vous entre ces deux casquettes ?

MO:Je suis Secrétaire d’ Etat parce que la lecture qui est faite m’identifie juste comme un Camerounais, Camerounais qui défend bien le développement économique de son pays. Je suis un Bamoun mais il faut d’abord être un Camerounais et faire preuve d’un Camerounais humble et travailleur et ensuite qu’on aille voir de quelle région on vient, c´est-à-dire un Bamoun. Je suis du Noun et qu’est-ce à dire ? Ça veut dire que je rehausse l’image du Noun parce que je me ferais fort de mériter la confiance que le Président de la république a placée en ma personne. Il se peut qu’à la lecture, il ait eu tous les éléments qui montrent que je suis à la hauteur cette tâche. Et pour rehausser l’image du Noun et continuer à avoir davantage la confiance du Chef de l’Etat, je mettrai tout en marche. Donc le parallèle c’est celui là. Fils du Noun dans la valeur. Je ferais tout pour que ce soit par rapport à la valeur et rien d’autre.

LGN:M. le Secrétaire d’Etat, abordons à présent le sujet politique. Au lendemain de votre entrée au Gouvernement, l’on présume que dans le Noun, vous aurez désormais une responsabilité de premier plan dans l’accompagnement de la base militante du RDPC, votre parti. D’entrée de jeu, à la faveur de la fête du 06 Novembre, vous avez affirmé dans vos interventions ici et là que votre principal partenaire sur le plan politique sera la base. Qu’est ce à dire ?

MO:Peut-être que j’ai ouvert là une page qui est difficile pour certaines personnes. Si on est des vrais militants convaincus du RDPC, il faut lire les textes. Ça va nous permettre d’éviter d’être des activistes pour être des vrais militants. C´est-à-dire en travaillant à la base, en implantant le parti à la base. Sinon, nos actions vont rester virtuelles. Ce n’est pas important de claironner là haut avec la tenue du parti alors que la base du parti n’existe pas. Tous les militants disent que les cellules sont fragiles. Il faut donc rapidement rentrer à la base pour reconstituer la cellule qui est la fondation du parti. En ce moment là, on va sentir le parti revenir et de manière très efficace. Si on continue à faire sans chercher à travailler avec la base, ce serait un peu comme une feuille dans une boite de nuit qui danse mais qui n’a pas de pieds. Il faudrait qu’on évite ce genre de situation, qu’on soit réaliste et qu’on évite d’être virtuel.

LGN:Toujours en politique, le contexte qui marque votre consécration apparaît difficile. Dans le Noun, le RDPC sort d’une défaite aux récentes élections municipales et législatives avec un rôle trouble joué par les élites qui, semble-t-il, continuent à se déchirer. Comment abordez-vous ces situations ?

MO:Je ne voudrais surtout pas que ça sorte de ma bouche puisque la concertation que j’ai eue avec les responsables des organes de base de notre parti dans le Noun était claire que leur déception provient du fait qu’étant sur le terrain au quotidien, les personnes ressources qu’on leur envoie arrivent avec des programmes préétablis et ne tiennent plus compte des avis de la base. Soit ils arrivent avec des candidats dans leurs poches qu’on doit aller élire, soit ils imposent des plans d’action sans tenir compte des avis de ceux qui sont sur le terrain. Ils mettent les éléments la base à la remorque d’un plan d’action dans lequel ils ne se reconnaissent pas. Humainement il faut s’attendre à une sanction. C’est que rentée dans l’urne, la base va sanctionner et en plus il faudrait bien qu’on sache que ce n’est pas facile de remplacer quelqu’un qui est sur un terrain. Donc la lecture de l’environnement est très importante. Je dois prendre un exemple. Si tous les organes confondus votaient pour le RDPC, on se serait tiré au moins avec deux députés et deux Mairies aux récentes consultations électorales. Mais vous voyez très bien que lorsqu’on prend les statistiques, c’est vrai que le score s’est amélioré, toutefois l’on se rend compte que beaucoup de militants du RDPC, de l’OFRDPC et de l’OJRDPC ont donné leurs voix à l’opposition et eux même ont dit pourquoi. Ils soutiennent qu’on vient à la base avec un plan d’action auquel ils doivent adhérer alors qu’ils ne savent même pas de quoi il est question. Par ailleurs, ils sont abandonnés à eux même et ça pose des problèmes. Pour résumer ce que les camarades de la base ont dit, c’est le RDPC qui fait gagner l’opposition. Tous organes confondus, près de 30% des nôtres n’ont pas voté pour le RDPC. Il ne faut pas passer rapidement dessus, il faut qu’on en soit interpellés. D’où l’initiative que nous avons prise d’aller travailler avec les militants de la base tout en étant attentifs au plan d’action et à la feuille de route qu’ils vont nous donner. Qu’on les laisse définir les actions à prendre et que nous venions plutôt renforcer. Notre Président National a bien dit que dans le cadre du parti, ses proches et principaux collaborateurs sont les présidents de cellules

LGN:Et les élites qui se déchirent ?

MO:Je dois dire que c’est pour n’avoir pas compris ce que c’est un jeu démocratique. Il y a aussi le manque de fidélité. Ce qui encourage ce déchirement entre les élites, c’est justement le fait qu’on ait tendance à prendre le parti pour un fond de commerce. C´est-à-dire que je vais sur le terrain et quand je travaille, le Chef de l’Etat doit m’appeler parce que c’est moi qui ai beaucoup travaillé pour me donner un poste ou quoi que ce soit. Ce n’est pas la lecture du Président National et je dois dire que je suis militant du RDPC depuis 1986. J’ai mes cartes à la cellule d’Aix-en-provence. Ma foi militante date de depuis ce temps là. Donc ce n’est pas le coup du décret qui a fait de moi un militant. Il faut faire la part des choses. Je ne dis pas que certains reviennent au RDPC parce qu’il y a le décret. Pour ce qui me concerne, j’ai cru au RDPC comme le principal socle du développement du Cameroun. J’ai compris le Président National et Président de la République, son idéologie et où est-ce qu’on allait. J’ai pu évaluer à court, moyen et long terme où sera le Cameroun avec ces grandes orientations et aujourd’hui nous sommes en train de voir. Il suffit de regarder et on évalue.

LGN:Le Mot de la fin ?

MO:C’est un mot de satisfaction. Je crois que le Noun n’est pas difficile, contrairement à ce qu’on dit. C’est nous qui rendons le Noun difficile. Nous travaillerons dans le cadre du parti pour lever cette équivoque. Il suffit de savoir parler à nos parents, leur dire ce qu’il y a lieu de faire et savoir traduire dans les faits les orientations du Président National du RDPC. Voyez-vous, Il y a des familles du RDPC qui ont été endeuillées. A la faveur de ma descente sur le terrain, c’était normal que je rende visite à ces familles pour leur présenter les condoléances du Président National et leur témoigner notre reconnaissance pour tout ce qui a été fait pour le parti. Je pense à ce jeune militant, Président de Comité de Base qui est mort il y a 3 semaines après avoir oeuvré pour remonter les scores du parti dans la section du Noun-sud à Foumbot. Il fallait bien que j’aille dans sa famille porter les condoléances du Président National. Cette démarche frappe les sensibilités et permet aux uns et aux autre de comprendre que le Président National n’est pas distant d’eux. Nous devons être présents quand il y a le malheur. Le RDPC ne doit pas seulement chercher son militant lorsqu’il est en bonne santé. C’est en fait traduire clairement et concrètement l’idéologie du parti telle que définie par le Président National.

Propos recueillis par Alexis MOULIOM et Aziz MBOHOU


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