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16.11.2014

LETTRE OUVERTE 










I






l y a lieu d’avoir vraiment peur de
vivre dans une société comme la nôtre, et de croire en l’émergence du Cameroun,
dit-on, en 2035, lorsqu’on vit des situations terribles et des dérives
dangereuses qui amènent à craindre parfois le pire. Une société où le ridicule
ne tue plus, car certaines âmes semblent « nés avant la
honte » ; où très peu ont encore des scrupules, et où la plupart
d’entre nous au regard de ce que nous vivons, ou sommes contraints de vivre, ne
pouvons plus projeter dans l’avenir, dans un milieu où la justice semble ne pas
être la chose la mieux partagée pour tous.



Voici une autre affaire de liquidation des biens de
succession qui tourne à l’enrichissement de certains hommes de justice,
« vrais ayants droits ? » du disparu, à la place de ceux-là qui
n’ont plus que leurs yeux pour pleurer, tout à côté des autres affaires de
malheureuse mémoire notamment : SOPPO PRISO et FOUDA ANDRE, pour ne citer
que ces deux cas là parmi tant d’autres !



Lorsque notre regretté papa décède le 11 Août 2008, soit
juste six (06) mois après mon fatidique accident à domicile en Février de la
même année, une situation douloureuse et contraignante qui me vaut jusqu’à ce
jour le fauteuil roulant de paraplégique que je suis devenu,



Nous ne pouvions pas nous imaginer un seul instant que
quatre (04) années plus tard, nous allons nous retrouver à subir les exactions
d’un juge et de ses acolytes, plus que décidés à spolier jusqu’au dernier
centime nos biens d’héritage, des biens dont notre géniteur aura travaillé dur
et avec des privations afin de les rassembler au profit de la famille,
avec : loyauté au Président de la République, fidélité aux institutions de
notre pays, et surtout respect de la chose d’autrui et du bien public, partout
où il aura été sollicité par la très haute hiérarchie.



Monsieur NDAM AMADOU, commandeur de l’ordre de la valeur à
sa disparition, a été un haut fonctionnaire de la république du Cameroun. Il a
exercé principalement dans le secteur des transports, depuis le début de sa
carrière professionnelle dans les années 1970, jusqu’à sa mise en retraite par
décret du Chef de l’Etat en 2004. Beaucoup l’ont connu avant sa mort sous le
pseudonyme de « Nji SOCAMAC », du nom de l’entreprise portuaire
SOCAMAC (Société Camerounaise de Manutention et d’Acconage), devenue plus tard
GEODIS après le rachat post-privation par les français.



Il aura de ce fait passé plus d’une décennie comme Directeur
Général dans cette société d’état, avant d’achever sa carrière comme haut
responsable au Ministère des Transports où il l’avait débuté comme Directeur
des Transports. Il a aussi présidé plusieurs fois, sans faillite aucune dans ses
missions, les commissions spécialisés de marchés des structures comme : le
Port Autonome de Douala (PAD) où nous connaissons les rebondissements
judiciaires qui s’y sont déroulés, ainsi que l’Agence des Régulations de
Télécommunications (ART). Il y a toujours accompli ses devoirs avec tact,
respect de la chose publique et de sa hiérarchie, et fidélité et loyauté au
régime politique en place.



Au moment où sa seconde épouse du nom de Madame PECHA
LADIFATOU, décide d’ester en justice sous les conseils de certaines élites
bamoun, ethnie d’origine de son époux, notamment un des soi-dits amis et
proches de Monsieur NDAM AMADOU, par ailleurs haut gradé de l’armée
camerounaise en retraite à ce moment, ainsi que d’autres que nous ne citerons
ici mais qui se reconnaîtront très bien, même dans l’entourage du palais des
rois, malheureusement, et qui oublient que « provoquer la pluie sur le toit de son prochain, risque d’occasionner
plus tard l’orage sur son propre toit après eux
 »,



Tout semblait avoir été mené et géré jusque-là par la
famille, selon le strict respect des dernières volontés du disparu, contenues
dans le testament écrit et confié à Sa Majesté le Sultan Roi des Bamoun, le
Très Honorable Sénateur El Hadj IBRAHIM MBOMBO NJOYA ; puis lu en public
au palais des rois bamoun comme de coutume, avec désignation de l’héritier
principal de Nji NDAM AMADOU. En rappel, et cela mérite de se savoir, Monsieur
NDAM AMADOU était un grand notable au palais, héritier désigné par son feu papa
comme le Chef de famille, d’où son titre traditionnel de NJI.



Madame PECHA LADIFATOU, ainsi que ses quatre (04) enfants
encore mineurs ont eu à bénéficier islamiquement et à part égale, comme le
recommandaient les dispositions testamentaires ci-dessus relevées, des mêmes
attentions que sa coépouse, Madame LINJOUOM MARIATOU et ses huit (08) enfants
dont j’en suis l’aîné. Encore que cette même personne, à savoir dame PECHA
LADIFATOU ne méritait pas, civilement parlant, de tout ce qu’elle aura reçu
comme quotte part de biens après les différents partages régulièrement
observés, et auxquels elle a eu bel et bien à participer sans contraintes, avec
des décharges de sa part consignées dans les archives de la famille NJI NDAM
TAPIT à Koupa Matapit dans l’arrondissement de Foumban.



En effet, Madame PECHA LADIFATOU a convolé en secondes noces
à Foumban avec Monsieur NDAM AMADOU en 1996, sous le régime polygamique de biens séparés. Au moment où elle a eu à
intégrer le foyer de son époux, elle a eu à y trouver une première épouse,
mariée à Foumban à ce monsieur depuis 1970, sous le régime de biens communs. Ce qui signifie tout simplement
qu’au moment de l’intégration de la famille de son époux, Madame PECHA
LADIFATOU a eu à trouver tous les biens ou presque dans leur majorité laissés
en héritage et aujourd’hui querellés égoïstement
par elle avec le curieux soutien d’un juge : le Magistrat JOHN JOHN du Tribunal de Foumban.



Surprenants ont été les actes posés par ledit juge après
qu’il ait été saisi par l’injuste plaignante depuis l’année 2012.



D’abord, par une correspondance initiée le 16 Janvier 2013
par Madame PECHA LADIFATOU, un séquestre judiciaire en même temps désigner pour
commettre une expertise des biens querellés, Monsieur NGOUNE CLAUDE, agent
d’affaires sans bureau fixe et localisable, qui résiderait à Bafoussam selon
l’adresse communiquée où il ne se trouve (B.P. 1219, Tél. 77 83 69 06), sera
décidé en violation des dispositions en vigueur le même jour par le juge, sans
raisons aucunes, et sans vérifications des dires de cette dame par confrontation
des parties.

Ensuite, la manifestation des intentions maffieuses du juge
se fera de plus en plus ressentir, lorsque plusieurs mois après, il rejettera
toutes les sollicitations de demande d’avancement d’hoiries formulées par les
ayants-droits du premier lit en souffrances, notamment :

Madame LINJOUOM MARIATOU, une épouse plus qu’éprouvée par
ses allers et retours sans résultats auprès du juge JOHN JOHN, parvenue au
troisième âge, régulièrement malade et ayant besoin d’attentions sanitaires
permanentes, une béquille à la main après un accident malheureux dont elle aura
été victime quelques mois auparavant ;



Monsieur NDAM BACHIROU M., victime d’une chute à domicile,
paraplégique de son état, et qui après aussi des voyages à risques à Foumban
pour solliciter ce qui lui revient de droit afin d’entamer enfin ses soins de
rééducation motrice et fonctionnelle, a dû aussi rentrer sans résultats de ses
démarches, devant un juge insensible ;



Le reste des ayants-droits du premier lit, dont une
étudiante ne pouvant payer normalement ses études universitaires, et des chefs
de famille dont les enfants pour certains peinent à bénéficier d’une éducation
scolaire sereine, par la faute d’une justice inhumaine.



En rappel, et comme le lui exigeait l’ordonnance le
désignant comme séquestre, Monsieur NGOUNE CLAUDE ne s’est jamais présenté aux
ayants-droits du premier lit pour leur signifier la décision du juge. Il n’a
non plus ouvert un compte bancaire du séquestre pour une meilleure lisibilité
des dépenses effectuées par lui dans le cadre de ses fonctions. Il n’a non plus
fourni jusqu’ici de rapports de gestion des fonds à sa disposition, une autre
erreur dans l’application des termes de l’ordonnance le désignant.



Et plus grave, aucun entretien n’a été fait par lui dans les
maisons sous son séquestre, où entre coupures d’électricité et d’eau, les
ayants droits sont obligés d’évoluer par la mendicité afin de maintenir le cap,
Monsieur NGOUNE CLAUDE et à travers lui, le juge JOHN JOHN, ne voulant réagir
favorablement aux demandes légitimes d’avance de droits avant le partage
définitif en vue d’après le Tribunal de Foumban, à la demande de dame PECHA
LADIFATOU, décidée à mener la vie dure à sa coépouse et ses enfants.

Enfin, et plus grave une fois de plus, ce qui s’est opéré
jusque-là par le juge en question, le rendu d’une décision provisoire de
justice, renfermant la désignation d’un cabinet de notaire à Foumbot, chez Me
NEGOUE MICHEL, dont les missions assignées seraient la vente des biens en
question (immobiliers), le règlement des taxes d’impôts et des honoraires du
notaire, et le reversement du reste de la vente au juge avec le plan de partage
aux ayants-droits. Une autre atteinte aux dispositions légales en vigueur qui
nous poussera à saisir Monsieur le ministre de la Justice, garde des Sceaux, à
travers une correspondance introduite le 16 Juillet 2014.

En rappel, plusieurs tentatives d’arrangement à l’amiable
ont été initiées par le premier lit afin de mettre un terme à cette mascarade
judiciaire dont Madame PECHA LADIFATOU ne maîtrise pas ou plus elle-même le
point de chute, ainsi que les conséquences que génèreront la discorde familiale
qu’elle aura organisée. Tant au niveau de la famille en présence des exécuteurs
testamentaires désignés par Monsieur NDAM AMADOU, notamment : Messieurs
POYOUNA ISSAH, PEMENZI OUMAROU et NSANGOU ABDOU SALAM ; qu’au devant de Sa
Majesté le Sultan Roi des Bamoun, l’honorable Sénateur MBOMBO NJOYA IBRAHIM,
assisté de son premier adjoint NJI PAFOYOUOM IDRISS et d’une épouse du roi,
notre maman au palais des rois bamoun, la reine Neh OURETOU ; sans oublier
les propositions voilées d’intentions maléfiques faites par le juge JOHN JOHN
en les présences de Madame PECHA LADIFATOU et Monsieur NDAM BACHIROU M.
convoqué en urgence au mois de Mars 2014 à Foumban par ledit magistrat à
Foumban, et pour rien à la fin dans son état physique.



Cette même personne à savoir Madame PECHA LADIFATOU, une
menteuse patentée, doublée d’un phénomène inexplicable, n’a plus vraiment honte
dans son voyoutisme. Se rend-t-elle compte que le juge JOHN JOHN exploite à
fond sa naïveté criarde et son illettrisme manifeste, pour se préparer sa
retraite dorée sur les avoirs de son feu époux ? Pense-t-elle-même encore
à la mémoire de ce mari qui était sien, lui qui dans sa demeure éternelle ne
demande à ses épouses, dont elle, et à ses enfants, qu’un minimum de retenue et
pas d’égocentrisme et d’égoïsme dans tout acte posé impactant sur les biens
d’héritage qu’il a laissés après lui, pour le bien de tout le monde, ses
descendants directs en premier, afin qu’il se repose définitivement en
paix ?



A-t-elle connaissance un seul instant des bases juridiques
de partage de biens de succession, elle qui a tout trouvé à son arrivée en
1996, de part l’acte de mariage N° 28/96 contracté à la CR de Foumban, du 07
Décembre 1996, une première épouse en la personne de Madame LINJOUOM MARIATOU,
de part l’acte de mariage N° 119 contracté à la CRME Foumban, le Cinq Septembre
1970, qui a passé près de son époux avant l’arrivée de Madame PECHA LADIFATOU
parmi nous, plus d’un quart de siècle avec des sacrifices énormes, afin de
bâtir un nom autour de la dynastie NJI NDAM TAPIT de Koupa Matapit ? Se
souvient-elle de tout ce que Madame LINJOUOM MARIATOU a éprouvé comme
privations, afin de permettre à leur époux d’agir en toute équité envers ses
épouses, selon les prescriptions islamiques ?



Aujourd’hui, celle qui l’a accueilli près d’elle avec bon
cœur et humanisme, comme sa fille, et qui lui a donné un gobelet d’eau
fraîche afin de lui souhaiter la bienvenue, ne mérite plus que dans son état de
santé très fragile, béquilles à la main, de l’eau bouillante pour Madame PECHA
LADIFATOU, cette dernière lui ayant plus d’une fois retourné négativement
l’ascenseur de son antipathie de diverses manières cruelles !



Madame PECHA LADIFATOU se plaint partout à travers des
commérages fabriqués de toutes pièces d’avoir été abandonné par la famille. De
quelle famille parle-t-elle lorsqu’un de ses enfants jouit depuis de longues
années d’une excellente éducation scolaire à Njombé, aux soins de Monsieur
POYOUONA ISSAH, cousin de Monsieur NDAM AMADOU, qui bien avant la disparition
de Monsieur NDAM AMADOU avait pris la décision de s’occuper tout seul du
rejeton de Madame PECHA LADIFATOU ! Qui a retiré le reste de ses enfants
de l’école où ils fréquentaient à Douala, sous la tutelle de leur oncle et
petit frère utérin de Monsieur NDAM AMADOU, le nommé Monsieur PEMENZI
OUMAROU ?



Si ce n’est elle, que Madame PECHA LADIFATOU nous dise qui a
posé un tel acte stupide contraignant ces enfants à la vie du village à Koupa
Matapit, puis à Foumban où depuis longtemps Madame PECHA LADIFATOU a trouvé un
toit aux frais de qui elle le sait toute seule, sans l’aval d’aucun membre de
la famille NJI NDAM TAPIT qui l’observe depuis agir contre la morale
traditionnelle comme civile, sans en dire un mot !



Pour protéger ses propres enfants de la distraction par leur
maman de leurs avoirs d’héritage, des comptes bancaires avaient été ouverts à
la SCB-CL à Douala. Les sommes allouées après une répartition équitable entre
tous les ayants droits, sans discriminations aucunes, y ont été régulièrement
reversés pour les besoins de santé, d’école, et autres des quatre enfants de
Madame PECHA LADIFATOU. Ces dits comptes avaient été dotés pour les retraits à
venir, du mécanisme de la double signature, dont celle de la maman des enfants,
et soit celle de Monsieur NDAM IBRAHIMA AZIZ, héritier principal et
administrateur démis injustement par le juge JOHN JOHN, ou alors celle de
Monsieur POYOUONA ISSAH à la demande même de Madame PECHA LADIFATOU.



Alors, lorsque Madame PECHA LADIFATOU déclare partout à qui
prête oreille à l’écouter dans sa dérive, que les enfants ont été abandonnés à
sa seule charge, pourquoi a-t-elle décidé :



-                
de ne plus poser les problèmes de ses enfants en
conclave familial, comme cela se passait avant sans problème, afin de justifier
les décaissements opérés dans les comptes bancaires desdits enfants, et cela
pour un meilleur rendu de la gestion de leurs avoirs d’héritage aux enfants
lorsqu’ils devaient atteindre leur pleine majorité ?



-                
de demander la désignation d’un séquestre
judiciaire, dont elle seule et le juge JOHN JOHN peuvent nous donner à ce jour
face à la piteuse gestion de l’ordonnance de séquestre par Monsieur NGOUNE
CLAUDE, les vrais mobiles qui auront motivé la décision de désigner ce
séquestre ? Sauf si comme le séquestre NGOUNE CLAUDE qui se sucre depuis
deux années sur la fortune de Monsieur NDAM AMADOU, avec la bénédiction de sa
seconde épouse PECHA LADIFATOU, lui qui a déclaré sur procès verbal de police à
Bafoussam dans les services de la police judiciaire, avoir tout remis au
juge JOHN JOHN : argent comme rapport de gestion de son séquestre, sauf ci
disions-nous Madame PECHA LADIFATOU trouve son compte dans cette décision de
justice privant injustement sa coépouse et ses enfants de ce qui aurait pu les
aider à gérer certains soucis matériels dans leurs vies, comme l’avait souhaité
Monsieur NDAM AMADOU !



Monsieur le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, saisi
du dossier et informé des actions négatives du juge JOHN JOHN, l’aura
solutionné en donnant des instructions à Monsieur le Secrétaire général de son
département ministériel afin qu’une issue définitive soit trouvée à ce
différend pendant. C’est ainsi que le Secrétaire général du Ministère de la
Justice a demandé à Madame LINJOUOM MARIATOU par la correspondance N°
08114/CD/7738/14/DANRS du 19 Août 2014, de se mettre en contact avec le
Procureur Général près la Cour d’Appel de Bafoussam, relativement au suivi de
la suite réservée par sa hiérarchie à ce dossier. Par la même occasion, le
Procureur Général a été saisi en interne sur la même question.



Après la rencontre avec ce haut magistrat à Bafoussam, puis
celle avec le Procureur de la République à Foumban vers qui Madame LINJOUOM
MARIATOU a été renvoyée, et les décisions du haut magistrat de Foumban prises
pour tenter un arrangement à l’amiable entre les parties, ainsi que la
récupération auprès du séquestre NGOUNE CLAUDE convoqué sous huitaine, de près
deux années de loyer des immeubles de Yaoundé Bastos sous son séquestre à
raison d’une somme avoisinant plus d’une TRENTaine
de Millions de nos francs CFA
environ,



Madame LINJOUOM MARIATOU n’a finalement que ses yeux pour
pleurer avec ses enfants après la curieuse relaxe du séquestre NGOUNE CLAUDE,
interpellé le Lundi 20 Octobre 2014 au matin par les services de la Police
Judiciaire (P.J.) de Bafoussam, après une plainte déposée par les ayants droits
du premier lit deux semaines auparavant, à la demande expresse du Procureur de
la République de Foumban, qui par la même occasion aura servi à la P.J. de
Bafoussam un mandat d’amener du sieur NGOUNE CLAUDE après son interpellation.



Question : Pourquoi relaxé un
« malfrat » que nous avons décidé d’interpeller, alors que les fonds
qu’il détient sur ordonnance judiciaire N° 01/2013/CAB/PT/FBAN du 16 Janvier
2013, du juge JOHN JOHN, n’ont aucune destination finale jusqu’ici, si oui sa
déclaration sur procès-verbal de la police où il dit avoir tout remis au juge
JOHN JOHN ? Pourquoi aussi demander de reformuler une autre correspondance
à Monsieur le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, qui aura déjà donné des
instructions comme solutions à ce litige, et dont nous n’avons qu’à appliquer
pour agir en toute responsabilité et conscience ?



Ajouté à ces faits :



-                
la récente décision du juge JOHN JOHN portant
désignation d’un juge mandataire devant agir aux noms de Madame LINJOUOM
MARIATOU et de ses enfants pendant la vente des biens immobiliers querellés,
programmée pour les semaines à venir, et sans jugement définitif rendu par le
juge JOHN JOHN décidé à enfreindre jusqu’au bout aux dispositions légales en
vigueur, sous le nez des ayants droits de feu NJI NDAM AMADOU, et
particulièrement Madame LINJOUOM MARIATOU et ses enfants ne bénéficiant pas de
ses faveurs comme la dame PECHA LADIFATOU bien introduite apparemment auprès de
ce personnage.



-                
Le renvoi ce 28 Octobre 2014, une fois de plus
et indiscutablement de trop depuis plusieurs mois, du délibéré final de cette
affaire judiciaire, par le juge JOHN JOHN, installé sur son trône magistral,
dont les intentions manifestes, nous le pensons fortement, se révèlent être le
braquage à tous les prix des biens d’héritage de la progéniture de Monsieur
NDAM AMADOU.



Ce
juge a d’ores et déjà demandé au notaire NEGOUE MICHEL à Foumbot de vendre en
notre absence, contrairement à ce que requiert la loi, l’ensemble des biens
immobiliers de Monsieur NDAM AMADOU, en commençant par la résidence familiale
de plus de trois générations d’homme de Koupa Matapit.



Il
lui a aussi demandé bien avant son verdict définitif vidé que nous attendons
toujours, de régler les frais d’impôts après vente, ainsi que les frais de
notaire, et de lui remettre le reste de l’argent de la vente accompagné du plan
de partage notarial afin qu’il rende enfin le délibéré définitif et remette à
chacun des ayants droits de Monsieur NDAM AMADOU, sa quotte part décidée entre
le juge JOHN JOHN, le notaire NEGOUE MICHEL, et Madame PECHA LADIFATOU qui
fréquente de plus en plus ces derniers temps le bureau du magistrat à Foumban,
pour la raison qu’elle et le juge maîtrisent si bien.



Enfin
sur un nième jugement avant dire droit (ADD), au lieu de vider
définitivement ce litige dans son fond comme dans sa forme, il a commis de
nouveau son expert à lui afin d’évaluer ce que peut représenter, comme loyer la
résidence NDAM AMADOU de Douala depuis Août 2008 (date de décès de son propriétaire)
jusqu’à ce jour. En rappel, la famille du défunt y loge depuis 1994 jusqu’à la
mort de celui-ci, et au-delà de cette période jusqu’à ce jour, y compris Madame
PECHA LADIFATOU qui détient encore avec elle les clés de son compartiment à
elle depuis son arrivée en mariage.



La
question formidable à se poser de ces jugements provision à répétition tournant
au ridicule à la fin, c’est celle de savoir comment on peut demander à des
propriétaires d’un bien immobilier laissé en héritage par le chef de famille
disparu, de payer le loyer de l’occupation de ce qui leur appartient de droit.
Et par ailleurs, payer à qui, et pour qui, si ce n’est pour les visées
bassement maladroits du Magistrat JOHN JOHN et de ses acolytes, dont Madame
PECHA LADIFATOU.



Tout simplement rocambolesque tout ce qui se fabrique
jusqu’ici, depuis plus de deux années, au Tribunal de Grande Instance de
Foumban. Notre cas ici présenté n’est pas, parait-il le premier, si on se réfère
à d’autres, bien avant le nôtre, où ce monsieur et sa même bande
d’acolytes se sont déjà produits en spectacle, depuis plus d’une décennie
d’exercice de ses fonctions à Foumban, sous l’œil du Conseil National de la
Magistrature.

Tout aussi déplorable de se savoir doublement orphelins, dans un pays où nous pensions pouvoir
encore croire comme tout le reste, en notre justice afin de rétablir à leur
place les prétentions malveillantes d’une partie : en toute impartialité,
légitimité et légalité. Plus que décevant de se dire « fier d’être camerounais », et d’y
vivre comme ci nous étions des étrangers venus d’une contrée lointaine.

Monsieur NDAM BACHIROU
M.



Ecrivain.



Douala - Cameroun / Tél. : (237) 99 33 08 74



Email : bechirndam@yahoo.fr / mougnutou@gmail.com





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