Plus le Monde avance et progresse, plus le mariage et particulièrement la polygamie semble le faire aussi au même rythme, en se spécialisant de temps à autre, avec des types nouveaux comme: l’«union libre» ou «union par contrat», qu’on pourrait qualifier dans le jargon populaire de: «viens on reste pour un temps bien précis ...».
C’est particulièrement à ce moment précis que les valeurs africaines privilégiant encore les relations humaines avant tout, trouvent leur sens réel, d’autant plus qu’elles n’encourageraient probablement point que l’un des membres d’une communauté se sente frustré par quelques procédés que ce soient.
Et la nécessité de se donner la main pour resserrer les rangs autour d’une pratique quelque fois ambiguë, car avilissante pour la femme par moments, semble plus que jamais urgente, tant la logique rationnelle entretenue autour de ce phénomène reste encore à démontrer.
«Le temps d’apprendre à vivre, il est déjà trop tard», disait Aragon. A la race humaine (la femme comme l’homme surtout qui absorbé par la satisfaction d’un besoin, entretient peut-être inconsciemment le culte de l’égoïsme et du pouvoir sources d’antagonismes), de faire en sorte que le temps pour elle de réfléchir afin de réagir positivement face aux effets négatifs de la Polygamie qui sévissent, il ne soit pas trop tard pour de regretter de n’avoir rien entrepris. Car mettre le couvercle sur une marmite qui bout, n’a jamais empêché la vapeur de s’échapper, cela est indéniable.
Et comme le dit le sage africain: «On ne meurt qu’une seule fois, et c’est pour si longtemps!» pour ne pas songer à temps à entreprendre quelques actions significative à ce propos.