| ESPACE DE DISCUSSION |
Peut-on depacer les affinités politiques pour construire ce qu`on a de plus precieux: Notre NOUN et
(posté le: 09.12.2006 par Mr Administrator )
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( NGOURAYE | posté le: 02.04.2005)
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Mes chèrs frères et soeurs, loin de vouloir activer des tentions politique, mon intention est plutôt de vous demander comment nous pouvons faire pour le surpasser. Ceci dit, je voudrai s`il vous plait que chacun de nous essaye de réagir tout en évitant d`éguiser la sensibilité de l`autre,que chacun de nous je vous en prie, réagisse en nous épargnant du nom de son leader ou de son parti politique.( Sur ce, je compte sur votre bonne comprehension et vous remercie d`avance)
Revenant à ma préocupation, j`avoue que je suis parti d`un constat fait sur le NOUN, constat qui s`est curieusement verifié sur ce forum notament sur le thème "A quand une musique Bamoun?" Je ne veux pas réagir à ce thème ici, mais je vai plutôt attirer votre attention sur ce que j`ai constaté et vous faire part de mon inquiétude. C`est que dès qu` au lieu de repondre ou mieux de parler du thème, quelqu`un a essayer de faire un rapprochement à tort ou à raison avec la politique, tout a basculé et le débat a été deplacé. Plus personne n`a voulu continuer dans le thème d`origine et tout le monde s`est mis à barratiner dans un brouhaha politique de non-lieu. C`est fort malheureusement ce qui s`est toujours passé dans le Noun independament du rang sociale au quel on appartient. A titre de rappel, je citerai le cas de la Radio communataire qui au lieu d`être un motif de fièrté pour tous les enfants du NOUN a plutôt été l`objet des querrelles partisannes où les gens se sont mis a s`entre-dechirer pour reclammer la paternité. Se sont les mêmes ignominies qu`on a vu au sujet de Nji Mounchipou et de Fochivé qui pourtant aidaient et faisaient la fièrté de tous ou du moins de l`immense majorité des Bamouns au delà de leur appartenance politique. Comment comprendre la réaction de Mbombo Njoya qui interrogé par Cameroun tribune au sujet de la rumeur sur le pretendu déccès du president Biya dernièrement n`a pas vu mieux à faire que de diaboliser son frère Ndam Njoya en disant: "Ceux qui se prennaient pour St Thomas en ont eu pour leurs yeux"? Comment comprendre mes chèrs frères et soeurs que Ndam Njoya puisse quitté Foumban à la veille des festivités du Ngouon sans y participer? Comment comprendre que Rabiatou Njoya interrogée au sujet de la succession de Njinka se met à parler politique en fasaint des declarations aussi surprenantes au sujet de Ndam Njoya comme celles-ci: "son marabout est mort, il en a été ébranlé et les gens commencent à comprendre". Je pense très sincèrement et très humblement qu`on devrait éssayer de depasser ou de surpasser ce qui nous divise comme la politique et voir ce qui nous uni comme notre NOUN avec son immense et riche patrimoine culturelle. Ne devons nous pas retrouver l`ésprit du ROI NJOYA qui en toute circonstance faisait d`abord passer le noun et le peuple Bamoun? Le Sultan Mbombo Njoya n`est-il pas le roi de tous les Bamoun? Ndam Njoya n`est -il pas un Bamoun de la famille royale à part entière? Ne devons nous pas copier l`exemple du Docteur NJIASSE Njoya qui participe à tous les débats dans le Noun qu`il soit organisé par Mbombo Njoya ou par Ndam Njoya? pour quoi portent-ils tous le nom Njoya s`il n`on rien de commun et doivent passer tous leur temps à se tirer dessus?
Je voudrai s`il vous plait mes chèrs frères et soeurs que nous éssayons tous de reflechir sur toutes ces questions à fin d`en trouver des reponses. Et si dejà nous reussissons à en discuter sans nous querreller, pour moi ce serait dejà une lueur d`espoir pour notre futur et l`avenir de notre très chèr NOUN. Je voudrai terminer en presentant mes excuses à tous ceux que j`aurai choqué inconsciement par mes propos que je reconnais très vifs et rudes à l`endroit de ceux qui sont supposés quider la destinée du NOUN( MBOMBO NJOYA, Ndam Njoya et Rabiatou Njoya).Cela s`explique par mon desir intense de voir ce peuple dont on parle dans l`histoire avec empressement, engourment, abnegation et admirations surtout quand on fait refèrence à l`érudit roi Njoya; aller de l`avant. Ne dit-on pas que "qui aime bien chatie bien"?
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| Envoyé par: Ngouraye | Date: 16.04.2005 [18:44] |
| | ARRETONS DE NOUS INSULTER |
| Salut tout le monde
C?est vrai qu?on a tous réagi dans le respect de l?autre sur ce thème, mais j?ai constaté avec un très grand regret qu?on se traite de tous les noms d?oiseaux sur d`autres et je me dit que ce n?est pas digne de nous, surtout que, quand on vient sur un forum c?est pour débattre, et qui dit débat dit contradiction ou du moins, divergence des points de vu. Certes ce que disent les autres ne nous arrange pas toujours, mais la meilleure façon d?amener l?autre à voir les choses comme nous c?est de dialoguer sans se traiter de tous les maux. Il est clair qu?une réponse douce repousse la fureur alors qu? une insulte attire la colère. Je ne veux pas me prendre pour un donneur de leçon, mais je veux seulement que nous fassions tous appel au bon sens que chacun de nous possède en lui.
A bientôt, salut.
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| Envoyé par: NGOURAYE | Date: 16.04.2005 [18:19] |
| | Pour la suite, comme je l?ai dit précédemment, J?avoue que ce que tu dis est exactement ce que je pense, tu as une présentation très limpide de la situation du Noun, et si tu pouvais présenter ta vision des choses en essayant de surpasser ta nostalgie( c?est de ton droit et personne ne se doit de te le reprocher) pour un parti et un homme dont je te fais fi du nom, tes allocutions ne souffriront d?aucune subjectivité (tu sais qu?on ne saurai être objectif si on est juge et parti). S?il est vrai comme tu l?as si bien dit au sujet de la politique qu? « elle nous permet de voire autrement la même chose » ; devrons nous traiter quelqu?un d?aveugle par ce qu?il adhère à un courant de penser différent du notre ? A mon humble avis, non. Chaqu?un est libre de militer où bon lui semble en respectant la différence de l?autre sans provoquer le Kourou de qui que ce soit. C?est cet absence du respect de l?autre, je dirai même que c?est cette attitude à vouloir mépriser et même haïr ceux qui ne sont pas du même côté que nous comme qui dirait « qui n?est pas avec nous est contre nous, » qui d?après moi décime le peuple Bamoun. Le comble de malheur c?est que cette maladresse est beaucoup plus entretenus au plus haut lieu chez ceux que certains des nôtres prennent pour des modèles d?autant plus qu?ils sont supposés nous guider. Je ne dis pas que c?est la politique proprement dite qui nous détruit, mais plutôt l?incapacité exacerbé de certains d?entre nous à pourvoir transcender leur divergences politiques au profit du sang Bamoun qui coule dans nos veines. Si je ne peux pas parler des fameuses grèves d?Avril1991 d?autant plus que mon jeune âge à l?époque ne m?a pas permis d?y voir et comprendre grand-chose (Je faisait cours elementaire première année à l?époque), c?est que je sais aujourd?hui qu?elles ( grèves) ont privé les Bamouns à jamais des prestiges comme le NKINDI dont la seule description me fait maudire ceux qui m?ont empêcher ; quelque soit la raison, de le voir et je ne voudrai pas assistés à des énormités comme celle la de nos jours, tout récemment encore, pour la simple raison que quelqu?un dans un village dont je préfère taire le nom a accepter d?être « garde du corps du chef de village qui adhère à un parti voué à la haine par la population, des gens ont menacé de brûler sa maison et voilà qu?au lendemain des résultats des dernières élections présidentielles, on a retrouvé la maison en flamme. La population a-t-elle mis sa menace en exécution comme laissait entendre le propriétaire de la maison ? le chef de village aurait-il concocté un plan pour acquérir illicitement de l?argent comme le laisse entendre la population ? rien n?est moins sûr, mais ce qui est vrai, c?est que tout une cohorte de personne a été déferlé à la prison de Foumbam pour plusieurs mois. Ce qui est pour ceux qui en ont besoin la preuve patente d?un mal être causé par la lutte entre des politicards.
De part ce qui précède, force est de constaté que ce qu?il y à faire n?est pas seulement de « dire la vérité à une et une seule personne » comme le laisse croire mon cher PANNE. Certes cette personne que je ne voudrai pas nommé , mais que vous connaissez tous n?est pas
blanc comme neige je dirai qu?il fait parti des Bamouns les plus tristement célèbres, surtout quand on pense qu?ayant bénéficier de tous les prestiges et privilèges que confère le pouvoir dans notre pays, a manqué l`opportunité qui lui était donner de prouver sa grandeur d`âme au peuple Bamoun, mais vu le temps qu?il fait, le moment est venu d?enterrer la hache de guerre pour voir ce que nous avons à faire et j?ai clairement fait une proposition dans ce sens dans le message intitulé « A Aboubakar, prince84 et vous aussi »
Comme tu l?as dis « Prions le tout puissant de guider le peuple Bamoun vers le chemin du succès, de la prospérité et du bien être. Que chacun fasse ce dont il est capable pour le progrès personnel dans un premier temps, et en suite le collectif »
Et en passant j?aurai voulu être un charme pour les femmes Bamouns comme tu le souhaites, mais fort malheureusement, je n?en ai presque pas connu jusqu?ici et c?est bien dommage pour moi
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| Envoyé par: NGOURAYE | Date: 15.04.2005 [23:37] |
| | salut une fois de plus très cher grand-frère.
Je suis de prime abord très ravi de te voir réagir sans verser dans le fanatisme et je crois que déjà à ce niveau, je peu me flatter (avec toute proportion gardée) d`avoir atteint mon objectif premier qui quoi que masqué était l`instauration d`un dialogue franc sur un sujet aussi brûlant que celui-ci sans blesser les âmes sensibles. Revenant à ta réaction, je me dis tout d`abord que c`est en réagissant aux propos des autres tout en s`eforcant de rester dans le cadre du thème proposé, qu`on peut faire basculer les choses dans le bons sens. Même quand nous ne sommes pas du même avis, je prends toujours du plaisir à te lire pour ton sens d`humour et du jeux des mots très poussé comme c`est encore le cas ici où tu parles d`"Equilibre injuste". Mais sans vouloir polémiquer sur la sémantique, je voudrai me replonger dans le vif du sujet. Contrairement à ce que tu peux croire, je ne suis pas de ceux qui pensent que la politique n`a pas droit de cité dans le Noun, je suis sur une même longueur d`onde que toi sur ces aspects prolifiques. Oui, la politique à permis à l`homme Bamoun de donner son point de vu sans craindre des réactions répressives et barbares comme celles d`antan, le Bamoun peut choisir qui il veut et dire non ou oui à sa guise, on n`entend plus des expressions du genre "Tu es l`enfant de qui?" on a vu des Bamouns devenir ministres et occuper des nombreux postes de commandes sans être de la famille royale, ce qui autrefois n`était pas envisageable. Cependant, cette bribe de liberté ne devrait pas nous faire tomber dans une sorte de libertinage, pire de libertinisme liberticide. Grand-frère, c`est pas à toi apparemment si ouvert cultivé et instruit que je devrai apprendre que l`histoire s`érige sur ces propres décombres, je ne veux pas croire que tu ignore que l`histoire à la particularité de bégayer sans jamais s`arrêter. Devons-nous faire de la politique un simple "refuge" (pour reprendre exactement le même mot que toi)? A cette question, je réponds sans contour ni détour par la négative, pour la simple raison que le contraire nous conduira inéluctablement dans une chasse aux sorcières durant la quelle il n y`aura ni vainqueur, ni vaincu, mais un grand perdant qui aura vu ses fils s`entre-déchirer et s`entretuer dans une lutte fratricide: Le NOUN, oui le Noun sera le seul perdant qui aura assisté avec consternation sans la moindre force de protestation à sa propre destruction. Je me dis qu`il n`est dans l`intérêt de personne ou du moins d`aucun Bamoun digne de ce nom de laisser le Noun sombré dans ce genre de cataclysme. J?avoue que ce que dit exactement ce que je pense, tu as une présentation très limpide de la situation du Noun, et si tu pouvais présenter ta vision des choses à essayant de surpasser ta nostalgie( c?est de ton droit et personne ne se doit de te le reprocher) pour un partie et un homme dont je te fais fi du nom tes allocutions ne souffriront d?aucune subjectivité (tu sais qu?on ne saurai être objectif si on est juge et partie)?.
A bientôt pour la suite.
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| Envoyé par: NGOURAYE | Date: 15.04.2005 [23:37] |
| | salut une fois de plus très cher grand-frère.
Je suis de prime abord très ravi de te voir réagir sans verser dans le fanatisme et je crois que déjà à ce niveau, je peu me flatter (avec toute proportion gardée) d`avoir atteint mon objectif premier qui quoi que masqué était l`instauration d`un dialogue franc sur un sujet aussi brûlant que celui-ci sans blesser les âmes sensibles. Revenant à ta réaction, je me dis tout d`abord que c`est en réagissant aux propos des autres tout en s`eforcant de rester dans le cadre du thème proposé, qu`on peut faire basculer les choses dans le bons sens. Même quand nous ne sommes pas du même avis, je prends toujours du plaisir à te lire pour ton sens d`humour et du jeux des mots très poussé comme c`est encore le cas ici où tu parles d`"Equilibre injuste". Mais sans vouloir polémiquer sur la sémantique, je voudrai me replonger dans le vif du sujet. Contrairement à ce que tu peux croire, je ne suis pas de ceux qui pensent que la politique n`a pas droit de cité dans le Noun, je suis sur une même longueur d`onde que toi sur ces aspects prolifiques. Oui, la politique à permis à l`homme Bamoun de donner son point de vu sans craindre des réactions répressives et barbares comme celles d`antan, le Bamoun peut choisir qui il veut et dire non ou oui à sa guise, on n`entend plus des expressions du genre "Tu es l`enfant de qui?" on a vu des Bamouns devenir ministres et occuper des nombreux postes de commandes sans être de la famille royale, ce qui autrefois n`était pas envisageable. Cependant, cette bribe de liberté ne devrait pas nous faire tomber dans une sorte de libertinage, pire de libertinisme liberticide. Grand-frère, c`est pas à toi apparemment si ouvert cultivé et instruit que je devrai apprendre que l`histoire s`érige sur ces propres décombres, je ne veux pas croire que tu ignore que l`histoire à la particularité de bégayer sans jamais s`arrêter. Devons-nous faire de la politique un simple "refuge" (pour reprendre exactement le même mot que toi)? A cette question, je réponds sans contour ni détour par la négative, pour la simple raison que le contraire nous conduira inéluctablement dans une chasse aux sorcières durant la quelle il n y`aura ni vainqueur, ni vaincu, mais un grand perdant qui aura vu ses fils s`entre-déchirer et s`entretuer dans une lutte fratricide: Le NOUN, oui le Noun sera le seul perdant qui aura assisté avec consternation sans la moindre force de protestation à sa propre destruction. Je me dis qu`il n`est dans l`intérêt de personne ou du moins d`aucun Bamoun digne de ce nom de laisser le Noun sombré dans ce genre de cataclysme. J?avoue que ce que dit exactement ce que je pense, tu as une présentation très limpide de la situation du Noun, et si tu pouvais présenter ta vision des choses à essayant de surpasser ta nostalgie( c?est de ton droit et personne ne se doit de te le reprocher) pour un partie et un homme dont je te fais fi du nom tes allocutions ne souffriront d?aucune subjectivité (tu sais qu?on ne saurai être objectif si on est juge et partie)?.
A bientôt pour la suite.
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| Envoyé par: NGOURAYE | Date: 15.04.2005 [23:36] |
| | salut une fois de plus très cher grand-frère.
Je suis de prime abord très ravi de te voir réagir sans verser dans le fanatisme et je crois que déjà à ce niveau, je peu me flatter (avec toute proportion gardée) d`avoir atteint mon objectif premier qui quoi que masqué était l`instauration d`un dialogue franc sur un sujet aussi brûlant que celui-ci sans blesser les âmes sensibles. Revenant à ta réaction, je me dis tout d`abord que c`est en réagissant aux propos des autres tout en s`eforcant de rester dans le cadre du thème proposé, qu`on peut faire basculer les choses dans le bons sens. Même quand nous ne sommes pas du même avis, je prends toujours du plaisir à te lire pour ton sens d`humour et du jeux des mots très poussé comme c`est encore le cas ici où tu parles d`"Equilibre injuste". Mais sans vouloir polémiquer sur la sémantique, je voudrai me replonger dans le vif du sujet. Contrairement à ce que tu peux croire, je ne suis pas de ceux qui pensent que la politique n`a pas droit de cité dans le Noun, je suis sur une même longueur d`onde que toi sur ces aspects prolifiques. Oui, la politique à permis à l`homme Bamoun de donner son point de vu sans craindre des réactions répressives et barbares comme celles d`antan, le Bamoun peut choisir qui il veut et dire non ou oui à sa guise, on n`entend plus des expressions du genre "Tu es l`enfant de qui?" on a vu des Bamouns devenir ministres et occuper des nombreux postes de commandes sans être de la famille royale, ce qui autrefois n`était pas envisageable. Cependant, cette bribe de liberté ne devrait pas nous faire tomber dans une sorte de libertinage, pire de libertinisme liberticide. Grand-frère, c`est pas à toi apparemment si ouvert cultivé et instruit que je devrai apprendre que l`histoire s`érige sur ces propres décombres, je ne veux pas croire que tu ignore que l`histoire à la particularité de bégayer sans jamais s`arrêter. Devons-nous faire de la politique un simple "refuge" (pour reprendre exactement le même mot que toi)? A cette question, je réponds sans contour ni détour par la négative, pour la simple raison que le contraire nous conduira inéluctablement dans une chasse aux sorcières durant la quelle il n y`aura ni vainqueur, ni vaincu, mais un grand perdant qui aura vu ses fils s`entre-déchirer et s`entretuer dans une lutte fratricide: Le NOUN, oui le Noun sera le seul perdant qui aura assisté avec consternation sans la moindre force de protestation à sa propre destruction. Je me dis qu`il n`est dans l`intérêt de personne ou du moins d`aucun Bamoun digne de ce nom de laisser le Noun sombré dans ce genre de cataclysme. J?avoue que ce que dit exactement ce que je pense, tu as une présentation très limpide de la situation du Noun, et si tu pouvais présenter ta vision des choses à essayant de surpasser ta nostalgie( c?est de ton droit et personne ne se doit de te le reprocher) pour un partie et un homme dont je te fais fi du nom tes allocutions ne souffriront d?aucune subjectivité (tu sais qu?on ne saurai être objectif si on est juge et partie)?.
A bientôt pour la suite.
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| Envoyé par: | Date: 15.04.2005 [23:35] |
| | salut une fois de plus très cher grand-frère.
Je suis de prime abord très ravi de te voir réagir sans verser dans le fanatisme et je crois que déjà à ce niveau, je peu me flatter (avec toute proportion gardée) d`avoir atteint mon objectif premier qui quoi que masqué était l`instauration d`un dialogue franc sur un sujet aussi brûlant que celui-ci sans blesser les âmes sensibles. Revenant à ta réaction, je me dis tout d`abord que c`est en réagissant aux propos des autres tout en s`eforcant de rester dans le cadre du thème proposé, qu`on peut faire basculer les choses dans le bons sens. Même quand nous ne sommes pas du même avis, je prends toujours du plaisir à te lire pour ton sens d`humour et du jeux des mots très poussé comme c`est encore le cas ici où tu parles d`"Equilibre injuste". Mais sans vouloir polémiquer sur la sémantique, je voudrai me replonger dans le vif du sujet. Contrairement à ce que tu peux croire, je ne suis pas de ceux qui pensent que la politique n`a pas droit de cité dans le Noun, je suis sur une même longueur d`onde que toi sur ces aspects prolifiques. Oui, la politique à permis à l`homme Bamoun de donner son point de vu sans craindre des réactions répressives et barbares comme celles d`antan, le Bamoun peut choisir qui il veut et dire non ou oui à sa guise, on n`entend plus des expressions du genre "Tu es l`enfant de qui?" on a vu des Bamouns devenir ministres et occuper des nombreux postes de commandes sans être de la famille royale, ce qui autrefois n`était pas envisageable. Cependant, cette bribe de liberté ne devrait pas nous faire tomber dans une sorte de libertinage, pire de libertinisme liberticide. Grand-frère, c`est pas à toi apparemment si ouvert cultivé et instruit que je devrai apprendre que l`histoire s`érige sur ces propres décombres, je ne veux pas croire que tu ignore que l`histoire à la particularité de bégayer sans jamais s`arrêter. Devons-nous faire de la politique un simple "refuge" (pour reprendre exactement le même mot que toi)? A cette question, je réponds sans contour ni détour par la négative, pour la simple raison que le contraire nous conduira inéluctablement dans une chasse aux sorcières durant la quelle il n y`aura ni vainqueur, ni vaincu, mais un grand perdant qui aura vu ses fils s`entre-déchirer et s`entretuer dans une lutte fratricide: Le NOUN, oui le Noun sera le seul perdant qui aura assisté avec consternation sans la moindre force de protestation à sa propre destruction. Je me dis qu`il n`est dans l`intérêt de personne ou du moins d`aucun Bamoun digne de ce nom de laisser le Noun sombré dans ce genre de cataclysme. J?avoue que ce que dit exactement ce que je pense, tu as une présentation très limpide de la situation du Noun, et si tu pouvais présenter ta vision des choses à essayant de surpasser ta nostalgie( c?est de ton droit et personne ne se doit de te le reprocher) pour un partie et un homme dont je te fais fi du nom tes allocutions ne souffriront d?aucune subjectivité (tu sais qu?on ne saurai être objectif si on est juge et partie)?.
A bientôt pour la suite.
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| Envoyé par: | Date: 15.04.2005 [23:35] |
| | salut une fois de plus très cher grand-frère.
Je suis de prime abord très ravi de te voir réagir sans verser dans le fanatisme et je crois que déjà à ce niveau, je peu me flatter (avec toute proportion gardée) d`avoir atteint mon objectif premier qui quoi que masqué était l`instauration d`un dialogue franc sur un sujet aussi brûlant que celui-ci sans blesser les âmes sensibles. Revenant à ta réaction, je me dis tout d`abord que c`est en réagissant aux propos des autres tout en s`eforcant de rester dans le cadre du thème proposé, qu`on peut faire basculer les choses dans le bons sens. Même quand nous ne sommes pas du même avis, je prends toujours du plaisir à te lire pour ton sens d`humour et du jeux des mots très poussé comme c`est encore le cas ici où tu parles d`"Equilibre injuste". Mais sans vouloir polémiquer sur la sémantique, je voudrai me replonger dans le vif du sujet. Contrairement à ce que tu peux croire, je ne suis pas de ceux qui pensent que la politique n`a pas droit de cité dans le Noun, je suis sur une même longueur d`onde que toi sur ces aspects prolifiques. Oui, la politique à permis à l`homme Bamoun de donner son point de vu sans craindre des réactions répressives et barbares comme celles d`antan, le Bamoun peut choisir qui il veut et dire non ou oui à sa guise, on n`entend plus des expressions du genre "Tu es l`enfant de qui?" on a vu des Bamouns devenir ministres et occuper des nombreux postes de commandes sans être de la famille royale, ce qui autrefois n`était pas envisageable. Cependant, cette bribe de liberté ne devrait pas nous faire tomber dans une sorte de libertinage, pire de libertinisme liberticide. Grand-frère, c`est pas à toi apparemment si ouvert cultivé et instruit que je devrai apprendre que l`histoire s`érige sur ces propres décombres, je ne veux pas croire que tu ignore que l`histoire à la particularité de bégayer sans jamais s`arrêter. Devons-nous faire de la politique un simple "refuge" (pour reprendre exactement le même mot que toi)? A cette question, je réponds sans contour ni détour par la négative, pour la simple raison que le contraire nous conduira inéluctablement dans une chasse aux sorcières durant la quelle il n y`aura ni vainqueur, ni vaincu, mais un grand perdant qui aura vu ses fils s`entre-déchirer et s`entretuer dans une lutte fratricide: Le NOUN, oui le Noun sera le seul perdant qui aura assisté avec consternation sans la moindre force de protestation à sa propre destruction. Je me dis qu`il n`est dans l`intérêt de personne ou du moins d`aucun Bamoun digne de ce nom de laisser le Noun sombré dans ce genre de cataclysme. J?avoue que ce que dit exactement ce que je pense, tu as une présentation très limpide de la situation du Noun, et si tu pouvais présenter ta vision des choses à essayant de surpasser ta nostalgie( c?est de ton droit et personne ne se doit de te le reprocher) pour un partie et un homme dont je te fais fi du nom tes allocutions ne souffriront d?aucune subjectivité (tu sais qu?on ne saurai être objectif si on est juge et partie)?.
A bientôt pour la suite.
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| Envoyé par: | Date: 15.04.2005 [23:33] |
| | salut une fois de plus très cher grand-frère.
Je suis de prime abord très ravi de te voir réagir sans verser dans le fanatisme et je crois que déjà à ce niveau, je peu me flatter (avec toute proportion gardée) d`avoir atteint mon objectif premier qui quoi que masqué était l`instauration d`un dialogue franc sur un sujet aussi brûlant que celui-ci sans blesser les âmes sensibles. Revenant à ta réaction, je me dis tout d`abord que c`est en réagissant aux propos des autres tout en s`eforcant de rester dans le cadre du thème proposé, qu`on peut faire basculer les choses dans le bons sens. Même quand nous ne sommes pas du même avis, je prends toujours du plaisir à te lire pour ton sens d`humour et du jeux des mots très poussé comme c`est encore le cas ici où tu parles d`"Equilibre injuste". Mais sans vouloir polémiquer sur la sémantique, je voudrai me replonger dans le vif du sujet. Contrairement à ce que tu peux croire, je ne suis pas de ceux qui pensent que la politique n`a pas droit de cité dans le Noun, je suis sur une même longueur d`onde que toi sur ces aspects prolifiques. Oui, la politique à permis à l`homme Bamoun de donner son point de vu sans craindre des réactions répressives et barbares comme celles d`antan, le Bamoun peut choisir qui il veut et dire non ou oui à sa guise, on n`entend plus des expressions du genre "Tu es l`enfant de qui?" on a vu des Bamouns devenir ministres et occuper des nombreux postes de commandes sans être de la famille royale, ce qui autrefois n`était pas envisageable. Cependant, cette bribe de liberté ne devrait pas nous faire tomber dans une sorte de libertinage, pire de libertinisme liberticide. Grand-frère, c`est pas à toi apparemment si ouvert cultivé et instruit que je devrai apprendre que l`histoire s`érige sur ces propres décombres, je ne veux pas croire que tu ignore que l`histoire à la particularité de bégayer sans jamais s`arrêter. Devons-nous faire de la politique un simple "refuge" (pour reprendre exactement le même mot que toi)? A cette question, je réponds sans contour ni détour par la négative, pour la simple raison que le contraire nous conduira inéluctablement dans une chasse aux sorcières durant la quelle il n y`aura ni vainqueur, ni vaincu, mais un grand perdant qui aura vu ses fils s`entre-déchirer et s`entretuer dans une lutte fratricide: Le NOUN, oui le Noun sera le seul perdant qui aura assisté avec consternation sans la moindre force de protestation à sa propre destruction. Je me dis qu`il n`est dans l`intérêt de personne ou du moins d`aucun Bamoun digne de ce nom de laisser le Noun sombré dans ce genre de cataclysme. J?avoue que ce que dit exactement ce que je pense, tu as une présentation très limpide de la situation du Noun, et si tu pouvais présenter ta vision des choses à essayant de surpasser ta nostalgie( c?est de ton droit et personne ne se doit de te le reprocher) pour un partie et un homme dont je te fais fi du nom tes allocutions ne souffriront d?aucune subjectivité (tu sais qu?on ne saurai être objectif si on est juge et partie)?.
A bientôt pour la suite.
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| Envoyé par: NGOURAYE | Date: 13.04.2005 [13:52] |
| | A Aboubakar, prince84 et vous aussi |
| Salut tout le monde.
Pour avancer, nous avons besoins de puiser dans le passé pour conforter le présent afin d`esperer des lendemains meilleurs, car pour paraphraser le professeur Kangué, hier nous a enfanter pour qu`aujourd`hui nous construisons demain. Je me dis que nous devons tirés des leçons de nos échecs et de nos succès d`antans pour mieux compredre ce qui se passe aujourd`hui, éviter de commettre les mêmes erreurs, nous unir pour décoller à jamais comme un seul homme. Je suis partisans des méthodes dûres, juste pour dire en face à l`autre ce qu`il a fait de mauvais et accepter soit même ces crimes dans un diaogue franc après le quel on ne devrait pas ce regader l`un l`autre, mais plutôt regarder tous dans la même direction, car en matière de develloppement, le point de vu de tout un chacun est indispensable, chaque pierre que l`on aporte à l`édifice est un plus, surtout quand on sait qu`avec deux fois rien, on peut aller très loin. A quoi ca sert de discuter si chacun devrait ce camper sur sa position en incriminant l`autre? A quoi sert un débat s`il ne peut qu`atisser les embrouillent et faire apparaitre des divergences? A rien à mon humble avis, pire à nous detruire.Evitons mon chèr prince84 que je trouve éloquant dans la grande partie de l`allocution de nous acharner sur une seule personne roi soit-il. Moi particulierement, je ne me voudrai pas l`avocat d`une personne qui, ayant béneficier de tous les prestiges et privillèges que confère le pouvoir dans notre pays a manqué l`oportunité qui lui était donner de prouver sa grandeur d`âme au peuple Bamoun, mias aujourd`hui il est ce qu`il est et nous n`avons pas interêt à diaboliser les choses si nous ne voulons pas perpetrer le mal qui nous hânte. S`il est vrai comme le dit si bien mon chèr prince84, que la politique et le devellopemnt vont de paires, il n`en demeurre pas moins qu`on devrait manier avec delicatesse le premier et le mettre toujours au service du second, pour cette raison d`ailleurs, je me dis que le fait que des frères soient des partis politique différent est un atout pour leur region d`autant plus que chacun esseyera de tirer ce qu`il y a de positif dans son camp pour aporter dans sa region et quelque soit le côte qui vaincra, leur region ne sera pas laiser. En clair, ma demarche est la suivante:Engageons un dialogue franc, et disons la vérité à tout le monde: riche ou pauvre, sultan ou sujet, député maire ou je ne sais plus quoi, pour que chacun reconnaisse où il a péché et prenne ces responsabilités sans toute fois se lancer dans la chasse aux sorcières. Je sais que ce n`est pas si évident que je le dis, je sais qu`on ne devrait pas aussi resté les bras croisés à ne rien faire par ce qu`une certaine "élite" n`est pas avec nous, mais avancons avec tous ceux qui veulent avancer tout en laissant la main tendue et la porte ouverte pour ceux qui voudront éventuellement nous joindre. Ne faisons rien qui puisse compromettre notre actions en ahurissant, reniant ou denigrant qui que ce soit et ainsi, un jour peut-être, comme un seul homme, on se levera pour batir notre cité et plus personne ne trainera le pas.
A bientôt, salut.
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